Le management « marque » souvent contre son camp, comment y remédier…
Ce sont les salariés les plus engagés qui sont les plus à risque et non ceux déjà désinvestis !
Le déficit de management du facteur humain et/ou le déficit de compétence en ce domaine ont un coût. Et il est élevé : la destruction humaine, au sens de personnes mises en danger de survie et en grande difficulté à ressortir de ce que l’on peut appeler « l’impuissance apprise », et celle de la crise de l’engagement au sens de l’entreprise. Bref, c’est du perdant/perdant.
Pourtant, dans un contexte sociétal de plus en plus dégradé en matière de confiance, les entreprises qui parient sur le facteur humain trouvent un terreau favorable de la part de leurs salariés, comme le montre une nouvelle fois le « Trust-Barometer 2021 ».
Comment peut-on comprendre les mécanismes de ce péril, comment y remédier pour le bénéfice de tous ?
Petit détour par les sciences et neurosciences cognitives : d’où vient le stress ? Que comprend-on aujourd’hui de son rôle ? Comment le prendre en charge ? Comment identifier et prévenir la spirale du burn-out…
Intervenant : Jacques Fradin
Jacques Fradin est Dr. en Médecine, Comportementaliste et Cognitiviste (AFTCC). Fondateur/Directeur Scientifique de l’Institut de Médecine Environnementale / IME. Il est Directeur Pédagogique de deux D.U. : « Psychologie et Pédagogie des Troubles du Comportement Alimentaire » et (à compter de 2022) « Thérapie Neurocognitive et Comportementale » (Faculté des Sciences de la Santé, Université de Bourgogne-Franche-Comté). Il est aussi Consultant comportementaliste en RPS/QVT et RSE, intervenant à HEC/Executive Education, Audencia/Executive Education, INHESJ, Expert APM. Il est auteur ou coauteur de multiples articles et ouvrages, scientifiques et de vulgarisation, parmi lesquels L’Intelligence du stress (Eyrolles, 2008) ou Fradin, J. (2009). Du stress en situation d’incertitude et de crise : une lecture neuronale et comportementale. In T. Portal (Ed.), Crises et facteur humain : Les nouvelles frontières mentales des crises (pp. 93-106). Bruxelles : De Boeck Université.
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